. Les personnes de 65 ans et plus.
. Les personnes, quel que soit leur âge, atteintes de l’une des affections de longue durée
suivantes : diabète de type 1 et diabète de type 2, accident vasculaire cérébral invalidant, néphropathies chroniques graves et syndromes néphrotiques primitifs, forme grave des affections neurologiques et musculaires (dont myopathie), épilepsie grave, mucoviscidose, insuffisance cardiaque grave, troubles du rythme graves, cardiopathies valvulaires graves, cardiopathies congénitales graves, insuffisance respiratoire chronique grave, déficit immunitaire primitif grave nécessitant un traitement prolongé, infection par le virus de
l’immunodéficience humaine, drépanocytose.
. Les personnes atteintes de tous types d’asthme ou de broncho-pneumopathie chronique obstructive, quel que soit leur âge.
. Les enfants et adolescents de 6 mois à 18 ans dont l’état de santé nécessite un traitement
prolongé par l’acide acétylsalicylique (syndrome de Kawasaki compliqué et arthrite chronique
juvénile.
. Les médecins généralistes, infirmiers et sages-femmes exerçant une activité libérale.
À l’étranger, des médecins plutôt favorables à l’aide à mourir pour eux-mêmes
749 incidents de cybersécurité déclarés dans les établissements de santé en 2024, en hausse de 29 %
L’affaire Le Scouarnec, miroir des défaillances des instances médicales
Pr Régis Aubry, spécialiste des soins palliatifs : « Analyser collégialement une demande d’aide à mourir évite l’arbitraire et le subjectif »