Le collège de la médecine générale, qui regroupe les organisations professionnelles et scientifiques de la spécialité, a lancé lundi une pétition pour dénoncer la stratégie politique du développement professionnel continu (DPC) qu’elle juge incohérente.
L’instance fustige « un système sans pilote, une gestion technocratique, un pillage par l’État des honoraires différés qui finançaient la FPC »...
La décision « autoritaire » prise en conseil de gestion par l’Organisme gestionnaire du DPC de limiter la prise en charge de la seule première action de DPC par professionnel à compter du 17 octobre dernier, a mis le feu aux poudres.
Le collège déplore ces mesures de restriction alors que « la recommandation européenne est de 40 heures de formation professionnelle, par an ».
En lançant cette pétition, le collège de la médecine générale réclame l’ouverture d’un Grenelle pour réfléchir à l’avenir du DPC, une gouvernance paritaire du dispositif (Etat-médecins), un financement pérenne au niveau des standards européens, et enfin une nouvelle définition des besoins, des thèmes, et des méthodes...
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