Christine Lewicki est une mampreneur, un mot – et une notion – à la mode pour désigner ces jeunes mères qui travaillent à la maison, généralement grâce à un blog ou une petite entreprise sur Internet. La voici aux États-Unis, immergée dans la mentalité positive des Américains et elle-même d’un tempérament optimiste. Mais, avec ses trois enfants et ses journées chargées, elle se sent frustrée et énervée. Alors, en guise de thérapie, elle décide de se lancer un défi, arrêter de râler pendant 21 jours. C’est The 21 days Challenge qu’elle raconte sur un blog, matérialisé par un bracelet qu’elle change de poignet chaque fois qu’elle se surprend à râler, ce qui remet le compteur à zéro.
Bien sûr, elle a fini par réussir, et comme elle est coach certifiée – elle aide les dirigeants d’entreprise –, elle veut porter la bonne parole. Elle en a fait un livre, « J’arrête de râler », que Laurent Gounelle, l’heureux auteur du best-seller « l’Homme qui voulait être heureux », qui en a fait la préface, qualifie de « précieux » et « nécessaire » (Éditions Eyrolles).
Il paraît que nous râlons en moyenne de 15 à 30 fois par jour. Les conséquences pour la santé n’ont pas été mesurées. Si c’était aussi grave que le tabac ou l’alcool, on imagine que ça se saurait.
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