La présence de douleurs peut révéler une maladie de Parkinson. Une étude montre que 43 % des patients présentent une douleur primaire qui précède les symptômes. Les neurologues voient une analogie entre la douleur neuropathique et les mécanismes de dégénérescence nerveuse à l’origine de la maladie de Parkinson. Sur le plan microscopique, il est possible d’identifier les mêmes anomalies structurales comme les atteintes mitochondriales, l’accumulation des neurofilaments et les microtubules. La douleur serait donc une expression symptomatique précoce d’une maladie de Parkinson. Parmi l’arsenal thérapeutique contre les douleurs neuropathiques, les molécules ont des indications précises. Par exemple, la carbamazépine n’est pas efficace dans les douleurs neuropathiques centrales alors que la prégabaline et le tramadol le sont, elles sont aussi utilisables dans les douleurs neuropathiques périphériques. « Le tramadol peut être utile dans les douleurs centrales de la SEP » a indiqué le Dr Bruno Brochet (Bordeaux).
Des douleurs peu banales
Publié le 13/05/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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