PARIS est son port d’attache préféré. L’Italien Arturo Brachetti est de retour avec un nouveau spectacle entièrement consacré à sa passion pour le cinéma. Dans son précédent opus, le transformiste donnait déjà quelques échantillons de son goût pour les sortilèges de Cinecitta et de son admiration pour le grand Federico Fellini. Arturo Brachetti nous entraînait aussi du côté du grand Hollywood classique avec ses saloons, ses cow-boys, ses comédies musicales et ses grandes histoires romanesques à la « Autant en emporte le vent »…
On retrouve certaines de ces compositions dans « Arturo Brachetti fait son cinéma », mais elles sont inscrites dans un scénario très fluide qui permet les transformations sensationnelles de l’athlète mince comme un fil et vif comme l’éclair. Il y a de la malice dans ce spectacle, quelque chose de généreux et de fraternel. Car, par-delà les époustouflants changements de costume et de personnage, ce qui transparaît à chaque instant, c’est la générosité de l’artiste virtuose. Il est lui-même le narrateur enjoué d’un spectacle qui exige une concentration extraordinaire. Mais c’est l’élégance suprême de cet éternel jeune homme à la célèbre houppe, tout paraît simple et facile.
Aux Folies Bergère, on rit beaucoup et l’on n’en croit pas ses yeux… même lorsque des parenthèses reviennent aux grands numéros traditionnels des ombres chinoises ou du chapeau magique.
Folies Bergère (www.foliesbergere.com), du mardi au samedi à 20 heures, dimanche à 15 heures, jusqu’au 2 janvier. Durée : 1 h 30 sans entracte.
PARIS est son port d’attache préféré. L’Italien Arturo Brachetti est de retour avec un nouveau spectacle entièrement consacré à sa passion pour le cinéma. Dans son précédent opus, le transformiste donnait déjà quelques échantillons de son goût pour les sortilèges de Cinecitta et de son admiration pour le grand Federico Fellini. Arturo Brachetti nous entraînait aussi du côté du grand Hollywood classique avec ses saloons, ses cow-boys, ses comédies musicales et ses grandes histoires romanesques à la « Autant en emporte le vent »…
On retrouve certaines de ces compositions dans « Arturo Brachetti fait son cinéma », mais elles sont inscrites dans un scénario très fluide qui permet les transformations sensationnelles de l’athlète mince comme un fil et vif comme l’éclair. Il y a de la malice dans ce spectacle, quelque chose de généreux et de fraternel. Car, par-delà les époustouflants changements de costume et de personnage, ce qui transparaît à chaque instant, c’est la générosité de l’artiste virtuose. Il est lui-même le narrateur enjoué d’un spectacle qui exige une concentration extraordinaire. Mais c’est l’élégance suprême de cet éternel jeune homme à la célèbre houppe, tout paraît simple et facile.
Aux Folies Bergère, on rit beaucoup et l’on n’en croit pas ses yeux… même lorsque des parenthèses reviennent aux grands numéros traditionnels des ombres chinoises ou du chapeau magique.
Folies Bergère (www.foliesbergere.com), du mardi au samedi à 20 heures, dimanche à 15 heures, jusqu’au 2 janvier. Durée : 1 h 30 sans entracte.
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