Le parquet général a fait savoir mercredi qu'il ne contesterait pas en cassation l'arrêt rendu jeudi dans le dossier de santé publique de l'hormone de croissance par la cour d'appel de Paris qui a relaxé les deux prévenus: la pédiatre Elisabeth Mugnier et l'ancien biochimiste Fernand Dray, blanchis de l'accusation d'avoir commis de «graves fautes d'imprudence et de négligence » dans le traitement de certaines hypophyses infectées entrant dans la composition de l’hormone de croissance. L'Association des victimes de l'hormone de croissance a également fait savoir qu'elle ne ne se pourvoirait pas en cassation.
Hormone de croissance : l’affaire est juridiquement close
Publié le 12/05/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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