Le tribunal de Nantes a donné raison jeudi à Didier Jambart, un homme de 51 ans atteint de la maladie de Parkinson, qui demandait réparation au laboratoire GSK fabriquant un médicament contre cette maladie dont les effets secondaires l'avaient rendu accro au sexe et au jeu. Le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK), fabricant du Requip®, a été condamné par la chambre civile du tribunal de grande instance à verser 117.000 euros à Didier Jambart ainsi que 11.315 euros à la CPAM. Motif de la décision: entre 2003 et 2005, lorsque Didier Jambart prenait le médicament, la notice à l'attention de l'usager ne mentionnait pas ces effets secondaires d'addiction au jeu ou d'hypersexualité. Ces effets indésirables figurent désormais dans la notice qui accompagne le médicament.
Hypersexualité et Parkinson: le laboratoire condamné
Publié le 31/03/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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