La première mesure à adopter...

« Les généralistes doivent pouvoir disposerd'un dispositif simple d'échange de données sécurisé qui leur permette de communiquer avec leurs confrères, avec leurs partenaires et avec l'Assurance Maladie et bénéficier d'une vraie dématérialisation des formulaires, où les données sont saisies via leurs logiciels-métier ».

« La suppression du bi-zone est la première décision à prendre d’urgence, via une convention d’avance de frais pour les pharmaciens d’officine, et bien sûr la suppression des courriers tatillons des cpam qui nous demandent des renseignements qu’elles sont capables d’avoir sans nous ».

« Un exemple concret ? Que le médecin qui souhaite obtenir des renseignements sur le site de l’assurance-maladie, en matière de pharmacovigilance puisse les obtenir en trois clics maximum. Aujourd’hui, cela peut prendre jusqu’à neuf minutes ».

« Un premier pas facile à mettre en œuvre serait celui de la dématérialisation des données, ce qui nous permettrait de communiquer aisément avec nos confrères spécialistes, par exemple. A la manière de ce qui se fait avec les laboratoires pour les comptes-rendus d’analyse ».