«L’élargissement du dépistage du VIH en population générale dans les cabinets de ville me paraît essentiel. D’ailleurs, dans mes bilans types de médecin généraliste je propose systématiquement ce dépistage. Pour rendre les gens indétectables et limiter ainsi la transmission, il faut pouvoir les détecter !
En revanche, je ne crois pas au suivi VIH en ville sauf par des médecins qui sont dans la pathologie depuis longtemps. Il a en permanence des nouvelles molécules, de nouveaux protocoles auxquels les patients ne peuvent avoir accès en dehors de l’hôpital. De même pour certains examens comme les génotypages ou le dosage de médicaments qui nécessitent un plateau technique particulier. Je pense que c’est beaucoup plus confortable pour les patients d’être suivi s à l’hôpital .
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