Les deux études pivots SPRINT-2 et RESPOND-2 montrent que le bocéprévir augmente les taux de guérison d’un facteur 1,7 à 2,8 chez les patients naïfs ou en échec d’une bithérapie à base d’interféron-ribavirine.
Dans le cadre de l’ATU (autorisation temporaire d’utilisation), 400 personnes ont déjà pu en bénéficier. Pour les patients porteurs d’un génotype 1 fréquent et plus difficile à traiter, ce traitement ouvre une nouvelle perspective. Une phase de bithérapie peginterféron-ribavirine durant 4 semaines permet de voir l’efficacité et la tolérance de la bithérapie avant l’introduction de l’antiprotéase. Le médicament qui est adapté selon la réponse virologique est en évaluation par le comité de transparence.
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