La consommation de poisson protège du risque cardiovasculaire. Mais le poisson de mer pollué par du mercure pourrait avoir des effets toxiques cardiovasculaires chez l’adulte. Alors que conclure ? Une grande étude (sur des cohortes regroupant plus de 173 000 individus) lève le doute : les taux de mercure relevés dans les ongles de 3427 sujets ayant été victimes d’une maladie cérébro ou cardiovasculaire est identique aux témoins indemnes de pathologies. Le mercure n’a donc pas d’effet défavorable sur le risque cardiovasculaire.
Source : NEJM
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