1. Les locaux. Des pièces sous-dimensionnées1, une salle d’attente non surveillée, une absence de locaux pour l’infirmière d’accueil et d’orientation (IAO), un accès aux plateaux techniques difficiles2 et des structures de lots d’aval en nombre insuffisant.
2. L’équipe médicale et soignante. L’absence d’une IAO en dépit d’un niveau d’activité élevé, la non-identification de médecin référent dans le service pour seconder l’IAO lorsque la situation l’exige, une équipe médicale en nombre insuffisant pour garantir la présence d’un médecin expérimenté 24 heures sur 24 en cas de départ du Smur, un recours important au personnel intérimaire, une absence de validation systématique de la prise en charge des patients par un médecin expérimenté.
3. L’organisation. Des prises en charge médicales et soignantes insuffisamment formalisées3, l’absence de règlement intérieur du service, le manque de temps médical disponible pour la tenue de réunions de service ou pour la réalisation des évaluations des pratiques professionnelles.
4. Le dossier patient non informatisé.
5. Les dispositions médico-légales et la traçabilité. L’absence de compte-rendu des examens radiologiques réalisés, le manque de traçabilité des échanges réalisés lors des actes de télémédecine4.
2. Imagerie et bloc opératoire.
3. Notamment l’absence de formalisation de l’activité de l’IAO.
4. Demandes d’avis et recommandations.
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