« Si la consommation des matières grasses reste stable depuis 10 ans, elle masque en réalité une réduction de celle des graisses brutes (produits laitiers, graisse de viande de ruminants) au profit de celles des produits transformés (margarine, viennoiseries, biscuits, plats préparés…) » explique Paolo Casagrande du Ministère de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche. « Un constat qui justifie les actions du PNNS auprès des industriels pour les inciter à réduire les teneurs en lipides de leurs produits » affirme Sébastien Rémy de la DGAL. Des travaux récents suggèrent un lien entre la préférence pour les aliments gras et l’index de masse corporelle. Toutefois, pour Sophie Nicklaus, spécialiste de l’enfant, les préférences pour les lipides ne sont pas innées mais se développent sous l’effet des apprentissages. « Et leur forte densité énergétique est un moteur puissant d’apprentissage » prévient-elle.
Les lipides au cœur des préoccupations
Publié le 03/12/2010
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Source : Lipides: enjeux sensoriels et nutritionnels, 9 nov 2010, Dijon
Page réalisée par Cyrille Costa
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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