Les temps forts

• En mai 1982, Paris accueillait les 2^es rencontres.

• Alger organisait les 3^es rencontres en avril 1983, placées sous la présidence du Pr Boucebci qui sera lâchement assassiné dans son service peu de temps après. Les actes de ce congrès ont été publiés dans la revue Psychiatrie Francophone dont le rédacteur en chef, Pierre Ardoint, était un membre actif de notre association.

• En1984, le congrès s’est tenu à Nancy sous la présidence de Michel Laxenaire sur le thème de « La guérison en psychiatrie ».

• En1985, à Tunis, le thème du congrès était « Les problèmes posés au psychiatre par l’adolescent et l’entrée dans la vie adulte ».

• Une année, du fait de la guerre, il n’a pas été possible d’organiser le congrès dans un pays du Maghreb et il s’est tenu à Saint-Étienne, en parallèle avec le Congrès de Psychiatrie et de Neurologie de Langue Française.

• Le congrès de 1996 s’est tenu à Beyrouth, au Liban, en marge du congrès panarabe de psychiatrie sur le thème « Aspects trans-culturels de l’anxiété ».

• En 1997 à Lyon, sous la présidence de Belkacem Bensmail et de Jean Guyotat, le thème retenu était « L’identité et le devenir de la psychiatrie ». Les actes de ce congrès ont été publiés dans la revue Encéphale (numéro spécial octobre 1998).

• En 1998, Béchir Ben Hadj Ali et Henri Lôo présidaient le congrès à Sousse.

• En 2000 à Alger, sous la présidence de Farid Kacha, le thème des « Troubles psychiques post-traumatiques » avait un écho tout particulier, après les moments douloureux qu’avait vécu l’Algérie.

• En 2001, Guy Darcourt organisait à Nice un congrès sur le thème « Culture et Psychopathologie ».

• Citons aussi Monastir en 2004, sous la présidence de Lotfi Gaha ; Eaubonne en 2005, sous la présidence de Gilbert Ferrey, membre très actif de notre association ; et Alger en 2006, sous la présidence de Farid Kacha. Lors de ce congrès, a été remis le prix Kacem Bensmail qui a été lui aussi un membre actif de notre association.

Il n’est pas possible de citer tous les congrès sinon pour dire que, depuis maintenant 32 ans, les congrès annuels sont organisés, et nous avons, jeunes et anciens, toujours beaucoup de plaisir à nous retrouver et à échanger. La présence importante de jeunes psychiatres en formation, qui ont l’occasion de présenter leurs travaux lors du congrès, nous donne une motivation supplémentaire pour continuer dans cette voie ouverte par les fondateurs.