« En 2008, les anticancéreux ont progressé de 6 % alors que le reste des médicaments a augmenté de 2,9 % » a expliqué le Pr Jacques Rouëssé (académie de médecine). Tous les pays européens ne sont pas à la même enseigne. Pour les molécules onéreuses, les établissements français adhèrent à un contrat de bon usage qui permet un remboursement intégral. Le Danemark a une enveloppe globale tandis que la Suède raisonne en ratio coût/efficacité et en QALY (Quality Adjusted Life Year). Le Royaume Uni est le plus conservateur avec une révision récente pour les malades en fin de vie. « Nous dépensons 5 millions d’euros pour 100 000 habitants alors que l’Autriche en dépense 4 et la Suisse 3,5 » s’est étonné Jacques Rouëssé. Ce sont surtout dans les indications les moins bien délimitées que les déviations sont les plus marquées. D’où l’intérêt de définir des critères rigoureux justifiant la prescription, le suivi et les modalités de l’arrêt.
Oncologie : très chère survie
Publié le 18/03/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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