« Mon premier congrès en tant que président du SML, c’était aussi à Lyon, l’année dernière, au début pourrait-on dire, de la campagne des URPS. Cette fois-ci, un an plus tard et au même endroit, je crois que l’essai a été transformé?»,?sourit?le Dr Christian Jeambrun (photo). Ce qui ne l’empêche?pas,?pugnace, d’entrer aussitôt après dans le vif du sujet. Le parterre d’invités qui ont accepté de participer à la table ronde de ce samedi, « L’offre de soins libérale, avenirs et perspectives » ? « Nous ne connaissons pas la nouvelle secrétaire d’État à la Santé, Nora Berra, ce sera l’occasion de se rencontrer ». Et surtout de lui passer le message du SML. Pêle-mêle : la création d’une lettre-clé pour les angiologues, l’intégration des MEP dans le parcours de soins, le développement de la notion de compagnonnage professionnel…
D’autres intervenants sont davantage connus des troupes du SML. Le directeur de l’Uncam, Frédéric Van Roekeghem, bien sûr, et la directrice générale de l’offre de soins, Annie Podeur, qui poursuit donc le travail d’écoute auprès des libéraux que lui avait confié Roselyne Bachelot.
« L’intitulé du Congrès, l’évidence libérale pour le soin, est totalement explicite. Autour de la table, nous aurons également le directeur de l’Agence régionale de santé Rhône-Alpes et le président de la CSMF, Michel Chassang, qui nous a fait l’amitié de venir », poursuit le Dr Jeambrun. Bref, un peu comme si tous les acteurs se remettaient à nouveau en place avant la nouvelle convention. « Ce sont en effet des formes de retrouvailles », admet le président du SML. Mais autour de la médecine libérale.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature