En attendant l’arrivée d’une nouvelle génération de moteurs baptisée « Sky » en 2012, la Mazda 3 occupe le terrain avec un Diesel optimisé – d’origine PSA –, lequel sera prochainement monté sur le monospace 5. De 110 ch, la puissance passe à 115 ch avec le concours d’un nouveau turbo à géométrie variable et d’un système d’injection peaufiné.
Mais l’essentiel est ailleurs. En lieu et place d’un additif, la Mazda 3 hérite en effet d’un catalyseur d’oxydation plus efficace pour la combustion des particules dans le FAP. Le couple porté à 270 Nm (+ 30 Nm) et la boîte six vitesses – au lieu de cinq précédemment – assurent en outre un meilleur confort d’utilisation dans les relances.
Malheureusement, le bruit vient perturber l’ambiance. En sixième sur autoroute, il est certes peu perceptible. Mais en ville et sur route, un bourdonnement désagréable remonte aux oreilles. Dans ce domaine, comme dans celui du confort de suspension, la Mazda 3 n’a pas gommé son déficit par rapport à la concurrence.
Côté équipements, elle est en revanche plutôt généreuse. Dès le premier niveau, la dotation inclut la climatisation manuelle, le régulateur de vitesse, l’ordinateur de bord, l’ABS, l’ESP, l’antipatinage, la radio MP3, le système de signalisation d’arrêt d’urgence et six Airbags. Liste non exhaustive. Cette générosité renforce son attractivité dans un secteur des compactes très concurrentiel.
Les prix :
Mazda 3 1,6 l Diesel 115 ch (6), 4,4 l, 117 g : 21 650 euros (Confort), 22 850 euros (Elegance), 23 950 euros (Sport).
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature