Une autre direction de la technique percutanée est la réparation des dégénérescences de bioprothèses aortiques implantées chirurgicalement 20 ans plus tôt. C’est la technique du « valve in valve » où l’on implante, par voie percutanée, la valve à l’intérieur de la bioprothèse qui, écrasée, reste en place. « Les résultats hémodynamiques sont bons pour la mitrale ou la tricuspide dégénérée » a indiqué le Pr Vahanian. Il faut néanmoins bien connaître les caractéristiques des bioprothèses mises en place chirurgicalement afin de ne pas occlure l’origine des artères coronaires avec la nouvelle valve percutanée. Reste l’inconnu sur la durabilité de cette procédure.
Une valve dans la valve
Publié le 04/11/2011
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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