Si l'évolution est favorable, il est inutile d’effectuer un ECBU de contrôle systématique, ni sous traitement, ni à distance de la fin du traitement, l’ECBU est nécessaire en cas de persistance de la fièvre au-delà de 72 h malgré une antibiothérapie adaptée.
L’IU masculine aiguë peut-être le mode de révélation d’un trouble urinaire du bas appareil (hyperplasie bénigne de prostate, sténose urétrale) et, chez l’homme de plus de 50 ans, d’un cancer de la prostate, ce qui justifie un dosage du PSA à trois mois.
Lors d’un 1er épisode d'IU masculine aiguë, il est utile de rechercher l’existence de signes cliniques pouvant faire suspecter une atteinte des voies urinaires : polla-kiurie, miction impérieuse, diminution de la force du jet, nycturie, dysurie, ou anomalie au toucher rectal.
Dès le deuxième épisode, ou dès le premier si une anomalie des voies urinaires est suspectée (et notamment après 50 ans), une échographie des voies urinaires avec quantification du résidu post-mictionnel, une consultation d'urologie, et selon les cas une débimétrie urinaire sont recommandées.
L’IU masculine aiguë peut-être le mode de révélation d’un trouble urinaire du bas appareil (hyperplasie bénigne de prostate, sténose urétrale) et, chez l’homme de plus de 50 ans, d’un cancer de la prostate, ce qui justifie un dosage du PSA à trois mois.
Lors d’un 1er épisode d'IU masculine aiguë, il est utile de rechercher l’existence de signes cliniques pouvant faire suspecter une atteinte des voies urinaires : polla-kiurie, miction impérieuse, diminution de la force du jet, nycturie, dysurie, ou anomalie au toucher rectal.
Dès le deuxième épisode, ou dès le premier si une anomalie des voies urinaires est suspectée (et notamment après 50 ans), une échographie des voies urinaires avec quantification du résidu post-mictionnel, une consultation d'urologie, et selon les cas une débimétrie urinaire sont recommandées.
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