La surveillance clinique est fondamentale. « C’est l’examen de tout le tégument bien entendu mais il faut être hypervigilant au niveau de la cicatrice et bien palper les aires ganglionnaires, la majorité des récidives sont locorégionales. On a pour objectif, si l’on découvre un nouveau mélanome, qu’il soit moins épais que le premier », insiste le Dr Longvert.
Mais cela ne suffit pas, il est tout autant indispensable :
- d’éduquer ses patients à l’auto surveillance,
- de les éduquer au dépistage dans leur famille, en particulier pour tous leurs apparentés au premier degré : parents, fratrie, enfants qui devront être surveillés,
- de leur rappeler la nécessité d’une photoprotection stricte : crème solaire toutes les deux heures, protection vestimentaire, éviter le soleil.
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