« Ce qui a emporté la décision de voter contre la convention au sein du SML, ce sont les spécialistes de secteur I, abandonnés au bord de la route. C'est également l'iniquité tarifaire pénalisant à chaque fois le secteur II, qui ne pourra pas bénéficier du forfait patientèle par exemple. En somme, cette convention est marquée par la volonté affichée de ne valoriser que deux façons de travailler en médecine libérale : le secteur I – et en particulier le médecin traitant – et les chirurgiens obstétriciens qui ont obtenu l'OPTAM-CO. Tout le reste de la médecine libérale a été sacrifié pour ces deux catégories de praticiens. C'est pour cela qu'il y avait beaucoup de mécontents dans notre base syndicale. »
Dr Éric Henry, président du SML
Opacité tarifaire, pratiques commerciales trompeuses… Les cliniques rappelées à l’ordre par Bercy
Vers un moratoire sur les fermetures des maternités ? Les obstétriciens du Syngof disent non
Hôpitaux de Marseille : « l’affaire Adida est une déflagration », juge le DG de l’AP-HM François Crémieux
Santé des soignants : deux prix pour valoriser l’engagement des blouses blanches pour leurs pairs