Consulté sur la préparation et l’évaluation des effets des catastrophes environnementales, le Conseil de la prévention et de la précaution a énoncé plusieurs recommandations qui viennent d’être publiées* :
1. Concevoir le recueil des données. Il doit être créé au plus vite et le plus en amont possible pour intégrer les données immédiates, environnementales, sanitaires, sociales et économiques, avec une pluralité de points de vue scientifiques.
2. Se doter de règles d’action. Au niveau local, des cellules scientifiques et techniques et, au niveau national, des comités d’experts, doivent être mobilisés pour statuer sur des programmes de gestion de crises dans des délais très courts.
3. Garantir financièrement le recueil. Un fonds doit être créé dès maintenant à cette fin.
4. Renforcer les coordinations et les synergies. Les réseaux de partenaires doivent être identifiés et les mécanismes de coordination renforcés.
5. Développer les formations. Exercices de simulation, enseignements interdisciplinaires et formation de référents doivent être développés.
6. Diffuser les données de retour d’expérience. La transparence doit être garantie par des enseignements auprès du public, des médias et des élus.
* Téléchargeables à l’adresse www.developpement-durable.gouv.fr/cpp.
« Pour la coupe du monde, un ami a proposé quatre fois le prix » : le petit business de la revente de gardes
Temps de travail des internes : le gouvernement rappelle à l’ordre les CHU
Les doyens veulent créer un « service médical à la Nation » pour les jeunes médecins, les juniors tiquent
Banderole sexiste à l'université de Tours : ouverture d'une enquête pénale