L’Université Pierre-et-Marie-Curie c’est, en 1971, « l’université Paris 6 » qui renaît des cendres de 1968 : la Faculté des sciences, plus connue sous le nom de Jussieu, elle-même héritière de l’ancienne Sorbonne « sciences », avait été fortement ébranlée et investie par les étudiants et certains professeurs. En 1974, Paris 6 devient « Université-Pierre-et-Marie-Curie » qui, en 2007 devient officiellement « UPMC ».
L’enseignement des sciences est dispensé sur le campus de Jussieu, l’enseignement médical est dispensé principalement sur deux sites : la Pitié-Salpêtrière et Saint-Antoine. Pour former ses étudiants, la Faculté s’appuie sur les hôpitaux du GHU-Est (Groupe Hospitalo Universitaire) : Saint-Antoine, la Pitié-Salpétrière, Tenon, Trousseau, Charles-Foix-Jean Rostand et Rotshild. Par ailleurs, des conventions hospitalo-universitaires permettent l’accueil des étudiants à l'Insitut franco-britannique, l’hôpital d’Aulnay sous bois, l’hôpital d’instruction des armées Percy et bien d’autres encore.
L’UPMC assure l’enseignement des 3 cycles d’études médicales : de la PACES (Première Année commune aux études de santé), intégrée à la Faculté, au troisième cycle incluant DES, DESC, DU et DIU. Elle dispense également des enseignements paramédicaux : l’orthophonie, la psychomotricité et l’orthoptie. Le site Saint-Antoine intègre une école de sage-femme.
Aspirateur à bacheliers
Les jeunes bacheliers attirés par une carrière médicale sont nombreux à vouloir accéder à cette formation d’excellence. Tellement nombreux que les étudiants sont souvent recrutés sur dossier et que la mention « très bien » au bac est un facteur déterminant qui peut encore bousculer bien des classements « post-moulinage APB ». Beaucoup d’entre eux effectuent une préparation avant la rentrée « pour être dans le bain, le plus rapidement possible », comme l’explique Antoine : « Je sais que cette année est très difficile, une vraie entrée dans les ordres. Je veux me donner le plus de chance possible. » Il suit parallèlement à ses études une prépa privée et a intégré le programme de tutorat mis en place par la corporation des étudiants en médecine de Paris VI (CEMP6) : un étudiant de deuxième année le suivra, le soutiendra scolairement, moralement toute l’année. Une solidarité qu’Antoine entend bien perpétrer, dans le rôle du tuteur cette fois, quand il aura franchi le cap de la première année.
En septembre 2015, 2 500 étudiants sont entrés en PACES. L’année dernière ils étaient 2 324. Seulement 20 % des primants sont reçus en deuxième année dans une des filières de la PACES, pour les doublants et triplants : près de 80 % arrivent à passer en deuxième année toutes filières confondues avec cependant un peu toujours le même schéma : le concours de médecine reste le plus tenté, suivi de la pharmacie, puis le concours de sage-femme et enfin le concours d’odontologie.
L’enseignement des sciences est dispensé sur le campus de Jussieu, l’enseignement médical est dispensé principalement sur deux sites : la Pitié-Salpêtrière et Saint-Antoine. Pour former ses étudiants, la Faculté s’appuie sur les hôpitaux du GHU-Est (Groupe Hospitalo Universitaire) : Saint-Antoine, la Pitié-Salpétrière, Tenon, Trousseau, Charles-Foix-Jean Rostand et Rotshild. Par ailleurs, des conventions hospitalo-universitaires permettent l’accueil des étudiants à l'Insitut franco-britannique, l’hôpital d’Aulnay sous bois, l’hôpital d’instruction des armées Percy et bien d’autres encore.
L’UPMC assure l’enseignement des 3 cycles d’études médicales : de la PACES (Première Année commune aux études de santé), intégrée à la Faculté, au troisième cycle incluant DES, DESC, DU et DIU. Elle dispense également des enseignements paramédicaux : l’orthophonie, la psychomotricité et l’orthoptie. Le site Saint-Antoine intègre une école de sage-femme.
Aspirateur à bacheliers
Les jeunes bacheliers attirés par une carrière médicale sont nombreux à vouloir accéder à cette formation d’excellence. Tellement nombreux que les étudiants sont souvent recrutés sur dossier et que la mention « très bien » au bac est un facteur déterminant qui peut encore bousculer bien des classements « post-moulinage APB ». Beaucoup d’entre eux effectuent une préparation avant la rentrée « pour être dans le bain, le plus rapidement possible », comme l’explique Antoine : « Je sais que cette année est très difficile, une vraie entrée dans les ordres. Je veux me donner le plus de chance possible. » Il suit parallèlement à ses études une prépa privée et a intégré le programme de tutorat mis en place par la corporation des étudiants en médecine de Paris VI (CEMP6) : un étudiant de deuxième année le suivra, le soutiendra scolairement, moralement toute l’année. Une solidarité qu’Antoine entend bien perpétrer, dans le rôle du tuteur cette fois, quand il aura franchi le cap de la première année.
En septembre 2015, 2 500 étudiants sont entrés en PACES. L’année dernière ils étaient 2 324. Seulement 20 % des primants sont reçus en deuxième année dans une des filières de la PACES, pour les doublants et triplants : près de 80 % arrivent à passer en deuxième année toutes filières confondues avec cependant un peu toujours le même schéma : le concours de médecine reste le plus tenté, suivi de la pharmacie, puis le concours de sage-femme et enfin le concours d’odontologie.
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