- Je viens de quitter ce fabuleux métier qui m’a enrichi humainement grâce aux patients.
- Je recevais sur rendez-vous, sauf les urgences bien sûr, et moi aussi j’ai pu sélectionner ma patientèle de gens charmants, souriants, reconnaissants.
- Quant au métier, aucune routine intellectuelle ni émotionnelle.
- Il est vrai qu’en ville, la concurrence fait que le système de travail semble plus simple à gérer.
- Et puis c’est un métier où il y a du travail d’emblée, et sûrement toute la vie avec une indépendance sans hiérarchie et sans tutelle excessive de la Sécurité sociale.
- Mais soyons réalistes, il y a des quartiers difficiles, des coins isolés et là, la sérénité ne doit pas toujours être présente. Dans ces cas, vive l’exercice libéral en groupe ! Ce n’était pas mon cas et très organisé, je n’avais pas d’ordi. C’était presque le bonheur !
Vous aussi, vous voulez réagir à l’actualité médicale ? Adressez-nous vos courriers accompagnés de vos nom, prénom et lieu d’exercice à redaction@legeneraliste.fr
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique
« Cela correspond totalement à mes valeurs », témoigne la Dr Boizard, volontaire de Médecins solidaires
« Les Flying Doctors », solution de haut-vol pour l’accès aux soins en Bourgogne