Les amoureux de la nature sont comblés, avec la sortie de deux albums qui complètent deux films spectaculaires sur la forêt.
« Amazonia » (La Martinière, 231 p., 35 euros), où l’on retrouve le petit singe capucin, héros du film éponyme de Thierry Ragobert, est une immersion en Technicolor au cœur de la plus grande forêt tropicale du monde, avec ses 40 000 espèces de plantes identifiées, ses 2,5 millions d’espèces d’insectes estimées et ses plus de 5 000 espèces d’animaux. Aux images du célèbre photographe brésilien Araquém Alcântara, répond un texte de Thierry Piantanida, qui propose une approche scientifique, zoologique, socioculturelle et économique de l’écosystème amazonien. Un ouvrage complet, sans complaisance ni alarmisme cependant.
« Il était une forêt » (Actes Sud, 236 p., 35 euros), le livre officiel du film de Luc Jacquet et Francis Hallé, nous mène aussi au plus profond de la forêt tropicale, qui naît sous nos yeux : de la première pousse à l’épanouissement des arbres géants de la canopée en passant par le développement des liens cachés entre plantes et animaux, le botaniste n’évoque pas moins de sept siècles. En seconde partie, le réalisateur raconte, sous la forme d’un carnet d’expédition, le déroulement du tournage du film et la découverte du monde des arbres. Un voyage quasi initiatique.
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