Coup de gueule, coup de cœur, avis d’expert ou témoignage… La rédaction du « Quotidien » distingue chaque semaine un ou plusieurs commentaires, parmi les centaines postés au fil des jours par les lecteurs internautes.
Sous-effectif chronique, manque de lits d’aval, horaires jugés inadaptés, congés maternité ou maladie non remplacés… Autant de raisons pour lesquelles une partie des paramédicaux des urgences de l’hôpital Saint-Louis (AP-HP) font grève depuis fin juillet, à l’appel du syndicat FO. « À Saint-Louis, il y a beaucoup d’hémato, de lymphomes, il faut du temps pour les prendre en charge correctement. Mais le manque de moyens humains nous pousse à être maltraitants », indique une aide-soignante de l'hôpital.
Pour ce lecteur, « maltraitants » est un terme fort, voire dévoyé...
Certes, certes, tout cela est bel et pas bon. Mais je trouve inadapté ce terme régulièrement dévoyé de « maltraitance » qui est un terme fort et qui suppose une volonté de mal faire quasi sadique alors qu'il n'en est rien. Arrêtons ces amalgames qui ajoutent au malaise sans en régler les causes (il paraît qu'appeler une personne âgée par son prénom est depuis l'époque hollande appelé de « maltraitance »).Ridicule.
Message posté le 28 août 2022. Voir tous les commentaires sur le sujet : "« Le manque de moyens humains nous pousse à être maltraitants » : aux urgences de Saint-Louis, des paramédicaux en grève avec le soutien de médecins"
C’est vous qui le dites
« En 5 heures, ils gagnent 2 000 euros défiscalisés »
Vu par Gabriel Giaoui
« L’identification à un mentor permet de rester motivé et d’éviter de s’égarer »
Éditorial
Seulement 5 % ?
Devis de vie