DES NÉERLANDAIS annoncent dans « Stroke » avoir identifié huit principaux facteurs capables d’accroître le risque de rupture d’anévrismes intracraniens et d’avoir calculé le risque de rupture inhérent à chacun. Il s’agit de :
- consommation de café : 10,6 % ;
- exercice physique vigoureux : 7,9 % ;
- se moucher : 5,4 % ;
- rapport sexuel : 4,3 % ;
- pousser pour déféquer : 3,6 % ;
- consommation de cola : 3,5 % ;
- sursauter : 2,7 % ;
- être en colère : 1,3 %.
« Tous ces facteurs induisent une augmentation soudaine et brève de la pression sanguine, qui semble une cause commune possible », indiquent les auteurs.
Pour arriver à ces résultats, les auteurs ont interrogé 250 patients ayant eu une hémorragie sous-arachnoïdienne d’origine anévrismale de compléter un questionnaire concernant l’exposition à 30 facteurs de risque potentiels dans la période qui a précédé l’accident neurologique ainsi que la fréquence et l’intensité d’exposition habituelle à ces facteurs. Ce qui leur a permis de calculer un risque relatif pour chaque facteur.
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