Pour l’éditorialiste Howard Jacob, directeur du Centre de Génétique Humaine et Moléculaire au Medical College of Wisconsin, « ce taux de succès (25 %) représente une nette amélioration sur les résultats obtenus par les tests génétiques (mono- ou pluri-génique) actuellement utilisés en pratique courante ».
Il ajoute que ce rendement diagnostique est vraisemblablement limité par les capacités des outils actuels et l’étendue de nos connaissances. « La principale limite est très probablement le manque de connaissance sur l’action des gènes et des variants, avec pour conséquence un très grand nombre de variants dont la signification reste incertaine ».
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