Des quatre pays concernés par l’épidémie, le Nigeria est le moins durement touché. Le pays, qui ne déplore que 6 décès au bilan du 28 août, a réussi à contenir l’épidémie. Le fonctionnaire libérien qui a introduit le virus dans le pays a rapidement été détecté, transféré dans un hôpital privé, doté de meilleures infrastructures que les établissements publics (dont les médecins étaient alors en grève), et placé en isolement, contre son gré. Un centre opérationnel d’urgence a été mis en place, notamment pour le repérage des sujets à risque. Un plan de communication sur le virus a été mis en place avec des spots d’information à la télévision et à la radio, dans les principales langues du pays, les opérateurs téléphoniques ont envoyé des sms à leurs abonnés. Une situation sous haute surveillance, car Lagos, la capitale, est la mégapole la plus peuplée d’Afrique subsaharienne avec 15-20 millions d’habitants, et une plaque tournante pour toute l’Afrique de l’Ouest.
Le Nigeria en exemple
Publié le 01/09/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9344
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024