Une approche fondée sur la stimulation des moyens naturels de défense du cerveau contre les anomalies de la maladie d’Alzheimer (MA) est en cours d’étude, par des chercheurs de l’Université de Québec (Laval) et du laboratoire GlaxoSmithKline. On sait que les cellules microgliales (cellules de défense du système nerveux) sont incapables d’éliminer la substance bêta amyloïde dont les dépôts sont pathogènes et forment les plaques séniles, incriminés dans la MA.
Ils ont réalisé un essai chez des souris modèles d’étude de la MA. Des injections hebdomadaires de MPL pendant 12 semaines ont entraîné une élimination jusqu’à 80 % des plaques séniles. On observe que le MPL amplifie la phagocytose par la microglie. De plus, des tests mesurant la capacité des souris à apprendre de nouvelles tâches montrent, au cours de la même période, une amélioration des fonctions cognitives.
PNAS, 15 janvier 2013.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024