Deux nouvelles techniques pourraient être utilisées en institution pour diminuer le taux d’infections nosocomiales tuberculeuses, selon une étude péruvienne : les lampes à ultraviolets (UV) et l’ionisation négative de l’air. L’équipe de Roderick Escombe vient en effet de montrer leur efficacité à prévenir la transmission de la mycobactérie chez des cochons d’Inde en milieu clos. Trois enclos de 150 animaux chacun étaient constitués, le premier contenant des lampes à UV, le second un système d’ionisation négative de l’air et le dernier servait de contrôle. Ils ont été pollués pendant 535 jours par de l’air provenant d’une chambre de patients tuberculeux. Parmi les rongeurs, les deux techniques ont réduit significativement le nombre de cas de porteurs sains du bacille de Koch et d’infections évolutives tuberculeuses.
PLoS, mars 2009, volume 6.
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024
La myologie, vers une nouvelle spécialité transversale ?