« Quand j'avais 10 ans, j'ai tenu la main de ma mère alors qu'elle mourait d'un lymphome, celle de mes frères morts d'un cancer (...) et il y a 10 ans j'ai tenu la main de mon frère, il est décédé d'un cancer de la prostate métastatique. J'ai vu les traitements, ma mère a eu une radiothérapie, mon père une chimiothérapie. J'ai toujours pensé qu'il y avait une meilleure solution. J'aurais vraiment voulu faire tout ce que l'on pouvait pour soigner au moins quelques cancers. »
James Allison, l'un des deux prix Nobel de médecin 2018, interviewé par nos confrères d'Huffington Post.
Troubles du neurodéveloppement : les outils diagnostiques à intégrer en pratique
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque
Autisme : la musique serait neuroprotectrice chez les prématurés
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?