La coutume de prendre un petit-déjeuner consistant et considéré comme équilibré pendant sa jeunesse pourrait jouer à l’âge adulte. Une étude suédoise de l’université d’Umea, avec un suivi de 27 ans, a conclu à une incidence accrue de 68 % de syndrome métabolique chez ceux qui prenaient des petits-déjeuners insuffisants à l'adolescence.
Pour les chercheurs, ce constat pourrait s’expliquer par l’impact négatif d’un apport calorique insuffisant le matin sur la régulation de la glycémie. Mais cette hypothèse reste à confirmer par d’autres études.
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