Le directeur général de l’assurance-maladie a accepté de commenter le dispositif pour le « Quotidien ».
« Nous en sommes arrivés là en grande partie parce que les différents partenaires, et notamment les complémentaires, n’ont pas pu trouver d’accord [sur le secteur optionnel]. Moi, j’aurais préféré qu’un accord intervienne. Mais c’était la règle du jeu : on savait qu’en l’absence d’accord, le gouvernement risquait d’intervenir. Le barème retenu (plafond autorisé de dépassement par acte) est identique à celui du secteur optionnel qui avait fait l’objet d’un accord tripartite. La différence, du côté des médecins, c’est que la question des anciens chefs de clinique [...] n’a pas pu être traitée. Du côté des complémentaires, on est passé de l’engagement volontaire signé à l’époque par l’UNOCAM à une obligation (solvabilisation dans le cadre des contrats responsables) ».
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