La revue « Prescrire » regrette que l’AFSSAPS ne cible pas davantage sa communication sur la protection du patient. La remise en cause de nombreux médicaments inquiète en effet les soignants comme le public. Selon « Prescrire », la liste des médicaments est « confuse », sans donner de mode d’emploi ni de solutions alternatives. Cette liste devrait faire la distinction entre :
- les médicaments qui présentent un risque disproportionné par rapport à l’efficacité (« Le problème n’est pas de les surveiller, mais de cesser de les autoriser. »)
- les médicaments intéressants dans certaines situations précises et qui manquent de mode d’emploi et qu’il serait utile de mieux faire connaître
- les médicaments de base pour certaines situations, dont les risques sont connus, mais qui présentent un bénéfice réel s’ils sont bien encadrés.
Enfin, l’AFSSAPS, explique « Precrire », doit « faciliter la notification des effets indésirables ».
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque
Autisme : la musique serait neuroprotectrice chez les prématurés
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?
Endométriose : le ministère de la Santé annonce une extension de l’Endotest et un projet pilote pour la prévention