Pour le Pr Hammel, « s’il est possible de guérir d’un cancer, on n’en sort jamais complètement indemne ».
« La vie d’après, poursuit-il, n’est pas la reprise à l’identique de la vie d’avant, comme une grosse parenthèse… La cicatrisation psychique est lente… J’ai eu après la fin du traitement des moments de doute, des brefs instants de désespoir même… La période de guérison est un long moment de solitude, de situation instable entre le statut de malade participant passivement à un protocole de traitement, tout à la dépendance de l’autre, et la liberté procurée par la santé physique recouvrée. »
Les députés s’accordent sur les cinq critères cumulatifs pour être éligible à l’aide à mourir
Fin de vie : l’article créant un nouveau droit à l’aide active à mourir a été adopté
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir