• En solo en milieu semi-rural,
à Poussan (Hérault)
• Signataire en 2009.
• 5 011 euros de primes
« Bon, évidemment, comme président de l’Amiperf, je ne vais pas vous dire que le CAPI ne fonctionne pas. Mais il pourrait être amélioré sur différents points. L’item dépistage du cancer du sein par exemple pose un problème éthique puisque nous sommes rémunérés sur le nombre de patientes qui font une mammographie, alors même que cet examen soulève du pour et du contre. En matière d’IPP également, il serait assez pertinent de changer les termes qui apparaissent, aujourd’hui, plutôt obsolètes : quasiment tous sont génériques. Enfin, je voudrais indiquer aux confrères que la perception de la rémunération est aisée à obtenir dès que l’on est dans les clous et que l’on y reste. Pour ma part, je n’ai progressé dans mes objectifs que de 3 %. »
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« Bien plus simple que l’option référent »
Un dispositif toujours fragile
« Plutôt pas mal »
Cap sur de nouveaux objectifs ?
« Bien sûr que je re-signerai ! »
« On reste libre à tout moment »
« Il suffit de rester dans les clous »
« On verra, si je re-signe »
« J’ai un peu honte d’avoir sauté le pas »
« Une pâle copie de l’option référent »
« Je ne regrette rien »
« Ça flotte sur le suivi des critères »
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