« Si le DMP ressemble à une bibliothèque avec un tas de livres en désordre, son intérêt restera limité, c'est pourquoi il faut qu'il y ait un volet de synthèse médicale rédigé par le médecin, une sorte de catalogue. Cela prend du temps à rédiger ; il faudra probablement aller au-delà des incitations financières existantes. »
Jean-Paul Ortiz, président de la CSMF in Les Echos du 15 février 2018.
Après deux burn-out, une chirurgienne décide de retourner la situation
La méthode de la Mutualité pour stopper 2,4 milliards d’euros de fraude sociale
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
À la mémoire de notre consœur et amie