Les cartes sont redistribuées au sein de l’automédication. Novartis a décidé de se désengager de se secteur. Et cède ses parts à GSK pour 10,4 milliards d’euros. Le géant suisse à l’avenir ne comptera plus que sur sa division générique et biosimilaires pour contrebalancer les risques autour des médicaments innovants. Pour GSK en revanche, la stratégie est différente. L’intégration dans sa totalité de l’automédication lui donne les moyens d’optimiser les marges. La dernière grande opération attendue dans l’automédication est désormais la vente programmée par Pfizer. Jusqu’à ce jour, les autres laboratoires ont reculé devant l’importance de l’investissement. En tout état de cause, cette recomposition traduit bien l’obligation pour les big pharmas de concentrer leurs investissements sur des cibles bien choisies. Même les leaders désormais ne sont plus présents sur la totalité de la chaîne du médicament.
Brève
Novartis se retire de l’automédication
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Publié le 29/03/2018
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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