Lors du traditionnel déjeuner de la Maison Blanche avec les journalistes politiques, le président américain a fait assaut de plaisanteries, critiquant notamment sur un mode badin le traitement dont il fait l’objet dans les médias de son pays. A propos de sa réforme de la couverture santé qui a connu tant de bugs, il a en revanche préféré user de l’autodérision.
Faisant référence aux nombreux problèmes informatiques qui ont marqué la mise en place du nouveau système d'assurance santé pour tous, réforme phare de sa présidence -qui a coûté sa place à la précédente secrétaire à la Santé- il a lancé, pince sans rire : "en 2008, mon slogan était Yes We Can! En 2013, mon slogan était Ctrl+Alt+Sup !".
Faisant référence aux nombreux problèmes informatiques qui ont marqué la mise en place du nouveau système d'assurance santé pour tous, réforme phare de sa présidence -qui a coûté sa place à la précédente secrétaire à la Santé- il a lancé, pince sans rire : "en 2008, mon slogan était Yes We Can! En 2013, mon slogan était Ctrl+Alt+Sup !".
Soumission chimique : un plan concret pour les médecins
Leïla Chaouachi, fondatrice du Crafs : « L’affaire Pelicot a provoqué une sidération chez les médecins »
Soumission chimique : les médecins se mobilisent
Accès aux soins : la Défenseure des droits entend démonter les discriminations envers les trans