La pandémie de Covid-19 nous rappelle que l'émergence de nouveaux virus est une menace réelle pour l'humanité. Or les animaux sont des réservoirs de pathogènes inconnus et le saut d'espèce est un phénomène attendu qui s'intensifie avec les activités humaines. L'exemple de l'influenza, qui connaît des passages réguliers de mutants plus ou moins virulents entre l'humain, le porc et les oiseaux, en est l'une des illustrations. La surveillance des maladies animales à travers le monde est nécessaire pour préserver la santé humaine, comme le soutient l'ONG Agronomes & Vétérinaires sans Frontières mais aussi l'OMS avec le programme « One Health » aujourd'hui mobilisé pour le Covid-19.
Se protéger ne va pas sans surveiller les écosystèmes
Publié le 30/04/2020
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Crédit photo : PHANIE
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du médecin
Article précédent
« Nous sommes très impliqués pour l’épidémio-surveillance des zones isolées »
L'approche « One Health » de l'OMS mobilisée contre l'infection Covid-19
« Nous sommes très impliqués pour l’épidémio-surveillance des zones isolées »
Se protéger ne va pas sans surveiller les écosystèmes