Une enquête nationale a été menée en 2016 et renouvelée en 2020, auprès de l’ensemble des femmes urologues, chefs de clinique ou installées. Près de 60 % des répondantes déclarent avoir rencontré des difficultés liées à leur statut de femme au cours de leur formation (59 % en 2016 et 59,2 % en 2020). Elles étaient 23,8 % à déclarer avoir eu des difficultés en rapport avec les maternités en 2016, 28,1 % en 2020.
Les femmes estiment dans leur très grande majorité (95,9 % en 2020 et 82,1 % en 2016) être sous-représentées dans les instances associatives et dans les postes universitaires (79,6 % en 2020 et 89,7 % en 2016). Neuf répondantes sur dix sont aujourd’hui favorables à la création d’une association de femmes urologues.
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