Le rapport 2010 de l’AFU* s’attaque aux méconnues mais fréquentes douleurs pelvipérinéales chroniques, « parce que ce ne sont pas seulement des symptômes localisés à une région anatomique évoluant depuis trois à six mois mais des pathologies à part entière, complexes, multidimensionnelles, associant des phénomènes psychologiques, organiques et psychosomatiques, dénommées « syndromes douloureux pelvipérinéaux chroniques ». Plus de la moitié des urologues consultés à cette occasion déclarent voir entre 20 et 100 nouveau cas par an. En extrapolant les données, il y aurait entre 10 000 et 50000 nouveaux cas pris en charge chaque année en France.
* Progrès en Urologie, 2010, Volume 20 p 833-1174 et à télécharger www.urofrance.org, rubrique publications
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