« Très honnêtement, je ne me suis pas encore beaucoup servi de ces cotations. Je les connais, mais, lorsque l’on est en visite à domicile, si l’on veut télétransmettre, il faut utiliser un lecteur ambulatoire, et le mien, que j’ai acheté il y a quatre ans, est trop vieux pour recevoir la mise à jour nécessaire pour intégrer ces majorations. C’est donc pour une raison de logistique et de coût que je ne cote pas ces nouvelles lettres. Ces visites majorées sont difficiles à déployer techniquement sur le terrain. Il aurait été plus simple d’augmenter le tarif de la visite à domicile. On aurait eu un meilleur effet sur les soins à domicile de plus en plus sollicités par nos patients. D’une manière générale, la visite à domicile est un réel problème, car nous sommes de moins en moins disponibles pour faire face à une demande croissante. La dernière fois que j’ai fait une VL je suis resté une heure avec les aidants. Pour la MIC et la MSH, je trouve que c’est plus compliqué car il faut se souvenir de la date d’hospitalisation du patient. »
Dr Charles-Henri Guez*
«Trop compliqué »
Publié le 24/01/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Crédit photo : dr
*Sainte-Foy-lès-Lyon (Rhône)
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Généraliste: 2668
Article précédent
« Les généralistes ne sont pas informés »
Article suivant
Nouvelles cotations, pour quoi faire ?
« Ce n’est pas rentré dans mes habitudes »
« Les généralistes ne sont pas informés »
«Trop compliqué »
Nouvelles cotations, pour quoi faire ?
Missions, consultation et diagnostic, prescription : le projet Valletoux sur la profession infirmière inquiète (déjà) les médecins
Désert médical : une commune de l’Orne passe une annonce sur Leboncoin pour trouver un généraliste
Pratique libérale : la chirurgie en cabinet, sillon à creuser
Le déconventionnement tombe à l’eau ? Les médecins corses se tournent vers les députés pour se faire entendre